« Lors des dernières législatives, il y a eu un regain de participation. Le taux de participation a été le plus élevé depuis 1981. Ce qui prouve que la politique n’est pas complètement morte. En revanche, il y a un vrai problème d’incarnation et un désamour croissant. Les Français ne se sentent plus en phase avec les offres politiques qu’on leur propose. »